Comment ? Qu’est ce que j’apprends ? Un épisode du podcast LES BIERES NARRATIVES qui ne sort pas 6 mois après le précédent ?! (mais seulement 4 mois après notre épisode TRANSFORMERS et même seulement 3 mois après notre dernière capsule)
Non, vous ne rêvez pas, on est bien là pour vous causer dans vos oreilles !
Qui suis-je vous demandez-vous ? Mon nom est GREG alias The Beer Lantern ! Je m’occupe du site du même nom depuis une dizaine d’années où j’y parle de bière sous plein d’aspects : dégustation, histoire, etc… J’ai depuis géré un bar à bières à Marseille et me suis désormais associé pour ouvrir une véritable brasserie craft à St Maximin qui propose des cours de brassage si vous êtes dans le coin. Et ceci n’est pas du sponsoring, juste du bon vieux copinage à l’ancienne !
Et avec moi il y a : BRICE, alias Captain Ordi ou Gruntosaure, notre technicien taciturne et parfois dyslexique !
Et enfin, ERIC, cuisiniste et qui s’occupe (parfois) du site Les Arts Narratifs… Le seul blog qui cause globalement de tout ce qui peut raconter une histoire : BD, séries, films, romans… Mais seulement quand j’y publie quelque chose chaque année bissextile ! Checkez plutôt les réseaux sociaux pour y suivre mes lectures. D’ailleurs peut-être même un jour, je ferais un article sur Le fait que l’inventeur du téléphone qui disait souvent “Allo oui” n’avait pas peur, qui sait ?!
Maintenant que nous nous sommes présentés, passons aux choses (pas si) sérieuses avec au sommaire :
- L’annonce des bières prétextes à faire cet épisode du podcast,
- Les sujets que l’on aurait pu aborder avec ces bières,
- Une petite présentation des brasseries,
- Le sujet pop-culture (tout en dégustant les bières) qu’on va faire semblant de vous dévoiler alors que vous l’avez vu sur le titre ou la miniature de cet épisode,
- Les sujets brassicoles du jour,
- Et enfin on se quittera sur des recos d’actualité (enfin, pour nous quand on enregistre !).
Donc tavern… Euh pardon, Greg, qu’est ce que l’on boit aujourd’hui ?
🍻 Les Bières du Soir : Un Triptyque de l’Horreur
Pour ce spécial Halloween, nous ne nous contentons pas d’une, mais de trois bières thématiques :
- A Nightmare in Celine Street de la brasserie Nova Runda
- Wolfie de la brasserie Brokreacja
- The Gravedigger de la brasserie Brokreacja
On aurait pu évoquer plein de trucs avec ces noms… Scream ? Ah non, on a déjà prévu de causer de la saga horrifique de Wes Craven une autre fois ! Halloween et Michael Myers ? Trop simple ! Evil Dead, Vendredi 13 ? En fait non, parce que.
Au final, ce qui sera au menu ce soir, c’est en fait : un menu d’Halloween en 3 étapes carrément où on va causer de Freddy Krueger, de loups-garous et de Simetierre !
Mais avant de plonger dans l’horreur, parlons un peu des génies derrière ces créations.
🌍 Présentation des Brasseries
Nova Runda (Croatie)
On commence notre voyage brassicole en Croatie, chez des pionniers, des véritables fers de lance de la révolution craft dans les Balkans : Nova Runda.
Leur nom, “Nova Runda”, se traduit littéralement par “Nouvelle Tournée”. Et ce n’est pas un hasard. Quand ils se sont lancés en 2013, la Croatie était, comme beaucoup de pays à l’époque, dominée par les lagers industrielles. Leur mission était simple mais radicale : amener une nouvelle vague, une nouvelle façon de boire de la bière.
L’ADN de Nova Runda est profondément marqué par une obsession, une passion dévorante pour une seule chose : le houblon. Ce sont les apôtres de l’IPA sous toutes ses formes. Leur but a toujours été de faire découvrir aux Croates (et au reste du monde) la richesse aromatique que peut offrir cette petite plante.
Ce qui les caractérise, c’est leur approche presque “West Coast” américaine, même dans leurs bières modernes. Ils n’ont pas peur de l’amertume, mais c’est toujours une amertume maîtrisée, nette, qui vient soutenir une explosion de saveurs fruitées et résineuses. Leurs bières sont réputées pour être incroyablement bien faites, précises, sans fioritures inutiles.
Avec un nom de bière comme “A Nightmare on Celine Street”, on voit tout de suite leur autre facette : un amour pour la pop culture et un humour un peu décalé. Ils ne se prennent pas au sérieux, mais leur travail de brassage, lui, est d’une rigueur absolue.
En résumé, Nova Runda, c’est le cœur battant de la scène craft croate. Des passionnés qui ont éduqué le palais de toute une génération et qui continuent, bière après bière, à prouver qu’ils sont les maîtres incontestés de l’IPA dans leur pays.
Brokreacja (Pologne)
On quitte la Croatie pour la Pologne, un pays devenu en quelques années l’un des poids lourds de la bière artisanale en Europe. Et là, on entre dans un univers sombre, complexe et terriblement fascinant : celui de la brasserie Brokreacja.
Le nom lui-même est un jeu de mots génial entre “Bro” (frère) et “Kreacja” (création). Mais ne vous y trompez pas, leur univers n’a rien de fraternel et léger. Brokreacja, c’est le côté obscur de la bière.
Leur slogan est “Warzymy z fantazją”, ce qui signifie “Nous brassons avec imagination”. Et leur imagination est peuplée de monstres, de personnages inquiétants et d’histoires sombres. Chaque bière n’est pas juste une recette, c’est un personnage avec sa propre identité, son propre récit.
- Vous avez “The Gravedigger” (Le Fossoyeur), souvent un Imperial Stout puissant et profond.
- Vous avez “The Butcher” (Le Boucher), généralement une Red Ale sanguine.
- Et bien sûr, “Wolfie” (Le Louveteau ou petit loup), qui est leur incarnation d’une Berliner Weisse, un style léger et acide, ce qui crée un contraste génial avec l’image du loup.
Ce qui est brillant chez Brokreacja, c’est que le style de la bière est toujours en parfaite adéquation avec le personnage qu’elle représente.
- The Gravedigger, le fossoyeur, sera une bière noire comme la nuit, dense, complexe, avec des notes de café torréfié, de chocolat noir, de terre humide… Une bière de méditation, qui vous enterre sous des couches de saveurs.
- Wolfie, à l’inverse, est léger, vif, acidulé et fruité. C’est le côté joueur et agile du loup, pas la bête féroce. Une bière désaltérante, presque “sauvage” par son acidité, mais totalement maîtrisée.
Brokreacja, c’est donc une brasserie qui offre une expérience totale. Le visuel des canettes est toujours magnifique, l’univers est cohérent, et le contenu est à la hauteur de la promesse. C’est la preuve que la bière peut être un art narratif à part entière, capable de nous raconter des histoires sombres et captivantes.
🔪 Le Menu Pop-Culture d’Halloween
Maintenant que les bières sont servies, attaquons-nous à notre menu en trois services !
1. La Saga Freddy Krueger
L’histoire commence en 1984 avec “A Nightmare on Elm Street”, réalisé par Wes Craven. À l’époque, Craven cherchait à créer quelque chose de différent dans le paysage horrifique dominé par les slashers. Son inspiration ? Un article du Los Angeles Times sur des réfugiés cambodgiens qui mouraient littéralement de leurs cauchemars. L’idée était géniale : et si on ne pouvait plus échapper au danger en se réveillant ?
Le personnage de Freddy Krueger naît de cette angoisse primaire. Craven voulait créer un tueur qui serait l’antithèse parfaite de Michael Myers ou Jason Voorhees. Là où ces derniers étaient silencieux et stoïques, Freddy serait bavard et sadique. Le nom “Krueger” vient d’ailleurs d’un gamin qui avait harcelé Craven à l’école.
Le film sort avec un budget de 1,8 million de dollars et rapporte plus de 25 millions au box-office américain. Le succès du premier film lance immédiatement une franchise. “Freddy’s Revenge” sort en 1985, mais prend une direction différente, transformant Freddy en une sorte de démon possesseur.
“Dream Warriors” (Les Griffes du Cauchemar) en 1987 marque le retour de Wes Craven au scénario, et c’est souvent considéré comme le meilleur sequel. C’est aussi là que notre tueur en pull rayé commence vraiment à devenir une icône pop culture, avec ses one-liners mémorables. Les films suivants (“The Dream Master”, “The Dream Child”) continuent sur cette lancée, avec un succès commercial qui ne se dément pas mais une qualité narrative en dents de scie, faisant de Freddy une véritable machine à cash pour New Line Cinema, surnommée à l’époque “The House that Freddy Built”.
Impossible de parler de Freddy sans évoquer Robert Englund, l’acteur qui a donné vie au personnage. Après 3 heures de maquillage quotidien, Englund a su créer un personnage unique, mélange parfait entre horreur pure et dark comedy. Il a incarné le personnage dans huit films, devenant indissociable de son rôle.
La saga connaît ses heures les plus sombres avec “Freddy’s Dead: The Final Nightmare” (1991), qui mise tout sur les gags et la 3D. Wes Craven tente un retour aux sources avec “New Nightmare” (Freddy sort de la Nuit) en 1994, film métafictionnel brillant où Freddy “sort” de la fiction pour hanter les acteurs de la vraie vie. C’est un échec commercial mais un succès critique.
Le reboot “Freddy Les Griffes de la Nuit” de 2010 avec Jackie Earle Haley s’est révélé décevant, manquant de personnalité et ne parvenant pas à se détacher de l’ombre d’Englund. Après avoir parlé de cauchemars, on va passer à un autre type de transformation nocturne…
2. Les Loups-Garous au Cinéma
L’histoire cinématographique du loup-garou commence véritablement en 1935 avec “Werewolf of London” d’Universal, mais c’est “The Wolf Man” de 1941 qui pose les bases mythologiques qu’on connaît encore aujourd’hui. Réalisé par George Waggner et avec Lon Chaney Jr., ce film invente de nombreux éléments qui n’existaient pas dans le folklore traditionnel : la transmission par morsure, la vulnérabilité à l’argent, et la fameuse comptine. Lon Chaney Jr. apporte une humanité touchante au personnage de Larry Talbot, un homme ordinaire frappé par une malédiction qu’il n’a pas choisie.
Les années 80 marquent une révolution avec deux films sortis la même année : “The Howling” (Hurlements) de Joe Dante et “An American Werewolf in London” (Le Loup Garou de Londres) de John Landis. Ces deux œuvres réinventent le genre avec des effets spéciaux révolutionnaires. “An American Werewolf in London” remporte l’Oscar des meilleurs maquillages pour les transformations créées par Rick Baker, une séquence qui reste l’une des plus impressionnantes du cinéma. Landis mélange parfaitement horreur et humour noir. “The Howling”, de son côté, propose une approche plus satirique et développe l’idée d’une communauté de loups-garous.
Les années 90 et 2000 voient une diversification des approches. “Wolf” de Mike Nichols (1994) avec Jack Nicholson propose une vision corporate du loup-garou. La saga “Underworld” (2003-2016) modernise le mythe dans un univers urbain d’action. Le remake “The Wolfman” (2010) de Joe Johnston tente un retour aux sources avec Benicio del Toro, mais peine à trouver son public, contrairement à “Dog Soldiers” de Neil Marshall (2002) qui réinvente le genre avec un budget minimal.
L’évolution technologique a profondément marqué la représentation des loups-garous, des maquillages d’Universal aux CGI modernes, les années 80 restant un âge d’or pour les effets pratiques. Thématiquement, le loup-garou reste un personnage fascinant car il incarne nos peurs primales : la perte de contrôle, la violence enfouie, et notre rapport complexe à notre animalité.
3. Simetierre de Stephen King
On termine avec du Stephen King pur jus : “Pet Sematary”, ou “Simetierre” pour nous autres francophones. Un bouquin que King lui-même trouvait trop sombre pour être publié.
“Pet Sematary” naît d’une expérience personnelle terrifiante de Stephen King en 1979, après que le chat de la famille, Smucky, se soit fait écraser sur la route dangereuse qui passait devant leur maison. Il imagine alors ce qui se passerait si l’animal revenait… mais différent. Cette idée est renforcée par un autre incident où son fils Owen manque de se faire renverser sur cette même route. King est tellement horrifié par ces pensées qu’il écrit le livre d’une traite, mais le laisse dans un tiroir. Ce n’est qu’en 1983, pour des raisons contractuelles, qu’il se résout à le publier.
L’adaptation de 1989 est réalisée par Mary Lambert. Stephen King écrit lui-même le scénario, restant très fidèle à son roman. Le film, avec Fred Gwynne dans le rôle culte de Jud Crandall, devient un succès commercial malgré des critiques mitigées et un pessimisme absolu. Certaines séquences (Gage avec son scalpel, Zelda la sœur déformée) marquent durablement les spectateurs.
“Simetierre” n’est pas un simple film d’horreur ; c’est une méditation profonde sur le deuil et les dangers de l’amour parental poussé à l’extrême. Il explore une question terrifiante : jusqu’où peut-on aller par amour ? Le personnage de Louis Creed incarne cette tragédie moderne du parent qui refuse l’inacceptable. La fameuse réplique de Jud Crandall, “Sometimes dead is better”, résume le cœur thématique du film.
Le film génère une suite en 1992, “Pet Sematary II”, également réalisée par Mary Lambert. En 2019, un remake moderne prend quelques libertés avec le matériau source (c’est Ellie qui revient, pas Gage), offrant une approche plus psychologique. Le véritable héritage de “Simetierre” réside dans sa capacité à toucher nos peurs les plus profondes et à interroger notre condition humaine face à la mort.
📰 Les Sujets Brassicoles du Moment
Après ce périple horrifique, revenons à des préoccupations bien réelles du monde de la bière !
1. Brewdog, Autopsie d’une Révolution Punk
Il y a des noms dans le monde de la bière qui sont plus que des noms. Ce sont des symboles. Aujourd’hui, on s’attaque à Brewdog. L’histoire de Brewdog, c’est un peu celle d’un groupe de punk rock qui, à force de succès, a fini par remplir des stades.
Pour comprendre où ils en sont, il faut se souvenir des scandales qui ont brisé le mythe. Le point de rupture fut la lettre ouverte des “Punks with Purpose” en 2021. Des dizaines d’anciens salariés y décrivaient une “culture de la peur”, un management toxique, à des années-lumière de l’image “cool” de la marque. À cela se sont ajoutées des polémiques marketing, comme la “Pink IPA” perçue comme sexiste, et des accusations de plagiat.
Et puis, il y a la question de l’indépendance. L’arrivée en 2017 du fonds de capital-risque TSG Consumer Partners a été un pacte faustien. Le slogan “100% Independent” a disparu des canettes.
Tout cela nous amène à l’été 2025. Début juillet, Brewdog a annoncé la fin de son programme emblématique de financement participatif, “Equity for Punks”. C’était le contrat social de Brewdog avec sa communauté, la preuve de leur philosophie “anti-système”. Annoncer la fin de ce programme pour se tourner vers des fonds d’investissement privés traditionnels est un reniement. C’est le passage final du statut de “brasserie du peuple” à celui de multinationale.
Alors, que reste-t-il aujourd’hui ? Il faut être juste. L’impact positif de Brewdog est indéniable. Ils ont été le “gateway drug” à la bonne bière pour des millions de personnes. Mais à quel prix ? L’héritage est aussi celui d’une ambition dévorante qui a broyé l’humain en chemin. Le vrai défi pour eux aujourd’hui n’est plus technique, il est philosophique. L’histoire de Brewdog est-elle une simple dérive, ou le destin inévitable de toute révolution qui réussit ?
2. Révolution de l’Aluminium : Quand Chimay et les Gardiens cèdent à la Canette
Aujourd’hui, on va parler d’un objet qui divise : la canette. Pendant des années, le débat faisait rage, mais il ne semblait pas concerner les forteresses imprenables de la tradition, comme les brasseries trappistes et les gueuzeries belges.
Et pourtant, le sol a tremblé. Deux noms, et pas des moindres, ont franchi le pas : Chimay, l’une des plus emblématiques abbayes trappistes, et Tilquin, une gueuzerie respectée par les puristes.
Pour comprendre le choc, il faut saisir le symbole. Une bière trappiste ou une Gueuze à l’Ancienne, ce n’est pas juste une boisson. C’est un héritage. Elles sont conditionnées en bouteilles pour la refermentation, un processus lent et noble. Dans l’esprit de beaucoup, la canette, c’est l’antithèse de tout ça.
Mais cette décision est le fruit d’une réflexion pragmatique. Les brasseurs ont reconnu les avantages écrasants de la canette pour la qualité :
- Protection Totale contre la Lumière : L’ennemi numéro un de la bière.
- Étanchéité Parfaite à l’Oxygène : La bière reste plus fraîche, plus longtemps.
- Logistique et Écologie : Plus légères, moins fragiles, meilleur bilan carbone, et recyclable à l’infini.
Ce que l’arrivée de Chimay et Tilquin sur ce marché nous dit, c’est que le pragmatisme et la recherche de la qualité ont triomphé du dogme. Ils n’abandonnent pas la bouteille pour leurs cuvées de garde. En revanche, ils ont compris que pour leurs bières destinées à être bues jeunes, la canette n’est pas une régression, mais le meilleur écrin possible. C’est la preuve que même les plus grands gardiens du temple sont prêts à adopter la modernité quand elle sert leur objectif premier : nous offrir la meilleure bière possible.
3. L’Ingrédient Secret et Indésirable : Les Microplastiques dans nos Bières
Pour ce dernier sujet, on va parler d’un ingrédient invisible, omniprésent, et qui n’a rien à faire là : les microplastiques.
La mauvaise nouvelle, c’est que oui, de nombreuses études scientifiques ont confirmé la présence de ces minuscules particules de plastique dans la bière, tout comme dans l’eau en bouteille ou le sel de mer.
D’où viennent-ils ?
- L’Environnement : La source principale est l’eau (plus de 90% de la bière), déjà polluée par des microplastiques issus de la dégradation de nos déchets.
- Le Processus de Brassage : L’usure du matériel (tuyaux en plastique alimentaire, joints des cuves, pompes, systèmes de filtration) peut relâcher des particules.
- L’Emballage : Le contact avec certains contenants ou les joints en plastique des capsules.
Faut-il paniquer ? La réponse honnête est qu’on ne sait pas encore précisément l’impact à long terme sur la santé. Les quantités détectées sont infinitésimales, il n’y a donc aucune raison de boycotter votre brasseur. Le problème n’est pas “la bière”, le problème est global.
La présence de microplastiques dans notre verre nous rappelle que la bière est intimement liée à son environnement. Elle est un miroir de notre monde, avec ses merveilles, mais aussi avec ses failles. La solution n’est donc pas d’arrêter de boire de la bière, mais peut-être de la boire de façon plus consciente, en soutenant des brasseries qui font attention à leur impact environnemental.
Conclusion
Et c’est tout pour ce long épisode 42 Spécial Halloween ! On espère que ce menu horrifique vous a plu.
Merci de nous avoir écoutés jusqu’au bout. N’oubliez pas que le meilleur moyen de nous soutenir, c’est de parler de nous, de partager cet épisode, mais aussi de nous laisser des notes et des commentaires sur vos applications de podcast préférées. Ça aide énormément pour la visibilité !
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